Alerte ! Face à la hausse des températures, certaines grandes villes aux quatre coins du monde risquent de disparaître.
C’est le triste constat que dressent les Nations Unies : la fonte des glaciers pourrait provoquer l'élévation de un mètre du niveau des océans d’ici 2100 si les émissions de gaz à effet de serre n'étaient pas réduites de manière drastique.
En Asie, où les côtes sont très peuplées, des millions de personnes exposées aux inondations. Ce continent abrite treize des vingt villes mondiales dont les pertes économiques dues aux inondations devraient augmenter le plus fortement entre aujourd’hui et 2050.
Parmi les villes les plus exposées : Shanghai, Bangkok, Tokyo et Osaka mais aussi Chittagong et Dacca (Bangladesh) et Hô Chi Minh-Ville (Viêtnam).
En Amérique, Annapolis, New York, Miami et la station spatiale de Cap Canaveral (Floride) seraient les principales villes touchées par la montée des eaux. Les côtes américaines, en particulier sur la façade Atlantique, sont parmi les plus vulnérables à la montée des océans. Le pire scénario correspondrait à une élévation de 2,5 mètres le long de ces côtes d'ici 2100.
En Afrique, Le Cap, Lagos, Alexandrie, Grand-Bassam, Lomé, la Guinée ou encore Abidjan en première ligne.
Et pour terminer le Royaume-Uni, la France et les Pays-Bas sont les pays les plus vulnérables en Europe.
Plusieurs grandes villes françaises sont en effet à risque : Bordeaux, Saint-Malo, tout le sud de la Bretagne mais aussi Calais ou Dunkerque au Nord. Même des villes relativement éloignées du littoral, comme Rouen, pourraient voir en 2100 une grande partie de leurs zones urbaines inondées par la montée des eaux.
Photo : AFP
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